
Yohmss is more than an artist. He is a sonic entity, born somewhere between the analog waves of the past and the futuristic pulses of a world yet to come.
Behind his smooth red full-face mask, his bright blue star-shaped glasses, and his black suit tailored like armor, Yohmss turns electronic music into an emotional and physical language—one that stirs deep emotions and moves bodies on the dancefloor.
He composes like a film director tells a story. After studying arrangement and orchestration at the Toulouse Conservatory, earning a DEUST in musical writing at Mirail University, a professional jazz musician diploma, and a music baccalaureate, he learned all the rules—just to break them better.
For over 30 years, he performed live on stage in popular music events, as a pianist, bassist, singer—always bringing energy and groove. He also composed music for film, TV, and documentaries, and has been programming synthesizers, drum machines, and sequencers since the age of 12—first analog, now mostly digital.
This evolution led him to develop deep expertise as a sound engineer, sound designer, and beatmaker. He also runs the YouTube channel Doctor Yohmss, where he shares tutorials on Bitwig and teaches music production techniques (MAO).
A pioneer of the underground techno scene since the ’90s, he launched his own label Apoxis in 2000. Known for his explosive, high-energy DJ sets across the south of France, he has a reputation for igniting dancefloors.
Influenced by Orbital, Sven Väth, Tony Thomas, Julian Jeweil, Jay Lumen, Sam Paganini, Daft Punk, and Breakbot, Yohmss crafts a sound that’s both cinematic and human.
Yohmss is a bridge between styles, between times, between man and machine. A strong identity, a futuristic vision, a powerful live energy… and an unshakable urge to make people feel.

I make music to vibrate, shake, reconnect.
If it doesn’t move something inside, it doesn’t matter.
I speak to the machines—but what I’m looking for is the human behind the sound.

🇫🇷 BIO YOHMSS – VERSION (FR)
Yohmss est plus qu’un artiste.
C’est une entité sonore, qui evolue entre les nappes analogiques du passé et les pulsations futuristes d’un monde encore à inventer.
Derrière son masque rouge lisse, ses lunettes en forme d’étoiles bleues et son costume noir taillé comme une armure, Yohmss transforme la musique électronique en un langage émotionnel et physique. Une musique qui provoque des émotions profondes, mais qui donne aussi furieusement envie de danser.
Il compose comme on construit une narration, avec une vision de réalisateur. Passé le Conservatoire de Toulouse (arrangement & orchestration), un DEUST en écriture musicale à la fac du Mirail, un diplôme pro de musicien jazz, et titulaire d’un bac musique, il s’est formé dans les règles de l’art… pour mieux les exploser.
Pendant plus de 30 ans, Yohmss a écumé les scènes en bal populaire, pianiste, bassiste, chanteur, homme de groove et d’énergie. Il compose également des musiques pour le cinéma, la télévision et les reportages, tout en programmant depuis l’âge de 12 ans des synthétiseurs, boîtes à rythmes et séquenceurs – à l’époque analogiques, aujourd’hui principalement numériques.
Cette transition vers le numérique l’a amené à développer une grande expertise en tant qu’ingénieur du son, sound designer et beatmaker. On le retrouve aussi sur sa chaîne YouTube Doctor Yohmss, où il tage des tutoriels sur Bitwig et forme les musiciens à la MAO.
Actif sur la scène techno depuis les années 90, il crée son label Apoxis en 2000. Il a joué dans de nombreuses soirées techno du sud de la France, reconnu pour ses sets énergiques et incandescents, capables de mettre le feu au dancefloor.
Influencé Orbital, Sven Väth, Tony Thomas, Julian Jeweil, Jay Lumen, Sam Paganini, Daft Punk ou Breakbot, Yohmss développe une musique vibrante, cinématique et humaine.
Yohmss, c’est un pont entre les styles, entre les époques, entre l’humain et la machine. Une identité forte, une vision futuriste, une énergie de live… et un besoin viscéral : faire vibrer.
Je fais de la musique pour faire vibrer, secouer, reconnecter.
Si ça ne provoque rien, alors ça ne sert à rien.
Je dialogue avec les machines, mais ce que je cherche, c’est l’humain derrière le son.
